Mais ce n’est pas l’absence qui provoque la douleur. Ce sont l’affection et l’amour. S’il n’y avait pas d’affection, s’il n’y avait pas d’amour, la douleur de l’absence n’existerait pas. C’est pour cette raison que la douleur de l’absence, au fond, est belle et bonne, parce qu’elle se nourrit de ce qui donne sens à la vie. (Carlo Rovelli)
On ne devrait jamais se haïr…
Une nouvelle page d’histoire…